Lucius Coeur D'argent

Le saint empereur protège nos âmes, comme nous protégeons celle des autres…
Bien que l’ombre nous entoure, elle n’atteint pas notre cœur…
Nous traquerons le corrompus, nous y poursuivrons le mal le plus vil.
Nous sommes les gardiens de l’humanité!
Car nous sommes l’ordo malleus!

Puis les portes du module d’atterrissage s’ouvrirent laissant voir à Lucius l’étendu du massacre. Des milliers de cadavres s’étendaient sur le sol devant lui, autant des fidèles de l’empereur que les traitres de l’impérium. Le ciel était rempli d’une lueur sombre verdâtre et d’insecte corrompu aussi gros qu’une main d’homme. Les nuages noirs laissaient tomber une pluie acide accélérant la décomposition. Devant eux se tenait leur objectif : un orphelinat d’une dizaine d’étage qui accueillait tous les enfants que l’empereur permettait à ses fidèles de retrouver.

-Exterminer les infidèles, l’empereur reconnaitra les siens, exclama Lucius et son escouade tactique.

Puis, une pluie de bolt se déversa sur les hérétiques devant eux. Le sang et les entrailles des impurs parcourra alors le champ de bataille. Le chevalier gris Lucius et son escouade avança d’un pas implacable au travers de la garde impérial louant l’empereur de son aide. Après quelques minutes les loyalistes réussir à reprendre le dessus forçant les damnés à s’enfermer dans l’orphelinat.

-Mes frères! Nous devons nous rendre au 6e étage pour arrêter cette folie! Tous avec moi. Nous allons montez sur cette immeuble adjacent pour avoir une vue.

Alors, Lucius et son escouade courra jusqu’au toit de l’immeuble et regarda orphelinat. Le toit était dégagé et il n’y avait aucun tireur embusqué. Lucius se concentra quelques secondes puis avec son téléporteur personnel, il apparue sur le toit de l’orphelinat avec ses frères d’armes.

-Que l’empereur nous protège…

Après ces quelques mots, Lucius ouvrit la porte. L’escalier était rempli par les ténèbres. Les murs quand à eux était remplis de symbole impie fait sang, d’entrailles et de chair pourrit. Le sol lui était envahit par une végétation surnaturel inspirant la mort et le désespoir. Des larves sortaient et tombaient du plafond. Mais cela n’arrêta pas l’escouade de chevalier gris qui avança au travers de l’ombre. 10e. 9e. 7e. 6e étages. Ils étaient enfin rendus. D’un coup de pied, Lucius explosa la porte devant lui. Les pouvoirs du chaos avaient souillé et transformé l’endroit. Lucius et son escouade se trouvait désormais devant un marécage. Les murs s’étaient déjà décomposé, des arbres pourrit avaient réussir à grandir avec des cocons dégoulinant d’un liquide visqueux brunâtre, quelques étend d’eau pourpre était apparue, des insectes de toutes sortes parcouraient le sol et pour finir des zombies des orphelins errait au travers du paysage. Alors sans crier garde, Lucius chargea au travers des morts avec son arme Némésis découpant en lambeau les pauvres corps des enfants perdu à tous jamais. Puis au milieu du jardin, Lucius trouva une cabane de bois rond pourri avec une cheminé. Comment celle-ci avait-elle peu construit? Aucun arbre ne se trouvait à des milliers de kilomètre de l’orphelinat. Sans se poser de question, le chevaliers gris chargea au travers des morts et les écrasa sous son poids. Il passa au travers du mur pourri de la cabane et découpa en 2 l’humanoïde se trouvant à l’intérieur. Puis il examina la dépouille se trouvant devant. C’était un jeune enfant d’environs 10 ans recouvert de pustule, sa peau était recouvert d’œuf de mouche et une corne avait pris la place de son œil droit. Un cri inhumain sorti alors de la créature et tout le marécage fonda telle de la cire.

- Mission réussi. On a arrêté infestation démoniaque, dit-il au vaisseau, vous pouvez commencer la procédure pour effacé la mémoire des témoins.

-Lucius, l’inquisiteur prétend qu’effacer la mémoire des témoins sera trop long et couteuse…

-Je vois…

Alors, il fit signe à son escouade de le suivre, s’approcha de la fenêtre et chargea son bolter fulgurant. Il apparue au travers de fidèle de l’empereur… et nouveau carnage commença.

Le saint empereur protège nos âmes, comme nous protégeons celle des autres…
La mort accompagne nos pas, à la fois horrible et inhumaine...